Frédérique Lazarini est Directrice Artistique du Théâtre La Mare au Diable depuis 2000.
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La presse en parle
La comédienne
Télérama
La chronique de Fabienne Pascaud (07/12/2016)
« Délirante Frédérique Lazarini » dans Audience et Vernissage de Vaclav Havel. Mise en scène de Anne-Marie Lazarini
Froggy’s Delight
(Chat en Poche de Feydeau)
« … Frédérique Lazarini, incandescente et drôle à mourir… »
Christian-Luc Morel (mars 2014)
Télérama
La chronique de Fabienne Pascaud (12/03/2014)
« … Mais les acteurs tiennent bon… Frédérique Lazarini,… jouent à merveille, dans leurs costumes modernes, des stéréotypes des personnages… » Chat en Poche de Feydeau
BSC news
« … Face à cet attachant nigaud amoureux, la belle Frédérique Lazarini (Marthe) a déployé son irrésistible arsenal de séductrice. Cheveux lâchés et regard de braise, elle se régale à interpréter les fausses ingénues. Sensuellement burlesque comme une chatte en mal d’amour, elle séduit toute l’assistance en ronronnant la bouche en cœur et le popotin vaillant… »
Florence Gopikian Yeremian (12/03/2014)
L’Express
« … Feydeau fait boum dans l’interprétation de l’explosive Frédérique Lazarini, meneuse d’une troupe formidable où notre cher vieux Bernard Menez reprend du service. Joyeux et sans chichis. »
Laurence Liban (nov. 2013)
Froggy’s Delight
« … Frédérique Lazarini, Amélie du faubourg, truculente, gironde, déborde de générosité, de féminité, comédienne de métier et de fusion : quel talent !… »
Christian-Luc Morel (nov 2013)
« … Et Baby Doll ? C’est Frédérique Lazarini. Elle va bien au-delà de la naïveté et de la sensualité de son personnage. Elle en dégage toute une complexité et un tissu de contradictions émouvantes. Alors même qu’elle paraît l’abêtir, elle ne cesse de l’anoblir. Sous une apparente simplicité, elle parcourt ne série de lignes brisées. Là où d’autres ont pu dessiner un ange du péché à deux sous, elle fait de cette pauvre fille une véritable héroïne… »
Gilles Costaz Oct 1998
La Terrasse
(dans Baby Doll)
«… Frédérique Lazarini, naïvement géniale… »
Valérie Librati (oct 1998)
Le Quotidien de Paris
(Au théâtre du Lucernaire, Paris)
« …dans un rôle périlleux qui oscille sans cesse entre des éclats de naturel printaniers et des monologues hivernaux et un peu didactiques, Frédérique Lazarini joue à merveille de sa voix, hypnotisant littéralement le public. Elle cultive l’art de la consonne finale, lancée du bout des lèvres dans un silence religieux, et sait jouer subtilement de son abondante chevelure…. Et pas seulement parce que la belle Frédérique Lazarini nous gratifie d’un début de strip-tease… »
Pierre Fageolle (21/03/1996)
« …Quant à Frédérique Lazarini, elle est étonnante ; elle fait de son personnage un vrai chef d’œuvre : elle est « la douce nuit qui marche », elle est la femme anéantie recroquevilée sur son drame, elle est cet être qui peu à peu se libère, se redresse, s’étonne, s’émerveille. Que voilà une comédienne rare ! Quel plaisir d’applaudir un tel talent !… »
Jacqueline Pasquier
Le Quotidien de Paris
(Dans Compartiment Fumeuses de Joëlle Fossier)
« … Frédérique Lazarini, la belle meurtrière à laquelle nul savoir en peut apporter consolation va peu à peu s’ouvrir au monde, se trouver. Un apprentissage en quelque sorte. Elle ne connaît pas le B.A.-BA du cœur, car elle a été littéralement tuée, enfant. Tou nerfs à fleur d’être, Lazarini est très émouvante et juste… »
Armelle Heliot (25/11/1993)
Le Parisien
« …Auprès d’elle, Frédérique Lazarini apparaît comme une porcelaine délicate et fragile. Elle est bouleversante de retenue, de finesse et d’émotion dans le rôle d’une jeune fille de bonne famille qui découvre l’univers carcéral, en attendant de passer aux assises pour le meurtre d’un père incestueux. On n’oubliera pas le cri de bête blessée qu’elle pousse à l’évocation de son crime…. »
Agnès Dalbard (15/11/1993)
Le metteur en scène
Télérama
« Frédérique Lazarini s’empare du chef-d’œuvre de Balzac pour en faire du théâtre à la fois inventif et respectueux… On redécouvre un Balzac feuilletoniste et populaire et l’on se laisse séduire par tout l’imaginaire que la mise ne scène suscite. »
Sylviane Bernard-Gresh (Avril 2016)
Pariscope
« … Le parti pris ici de la théâtraité assumée permet, tout en restant fidèle à l’œuvre, de tenir à distance le récit. On flirte du côté de la fable, et même parfois du théâtre de poupées. La proposition n’est pas sans séduire… »
Tatiana Djordjevic (du 4 au 10/05/2016)
Le Monde
« … Avec humour et audace, …la metteure en scène Frédérique Lazarini, convertissent en spectacle de marionnettes « Le Père Goriot » s’emparant de la devise de la Maison Vauquer « pension bourgeoise des deux sexes et autres »… L’émotion est au rendez-vous face à ce Père Goriot défiguré par le chagrin… »
Evelyne Trân (24/04/2016)
De Jardin à cour avec Marie Ordinis
« … Trois comédiens, parfois masqués, interprètent combien de personnages ? Du grand art. Notez encore qu’ils doivent tous être amoureux de leur Mère Goriot, sinon rien n’aurait tenu la route. Le nôtre vous emmènera rue Richard Lenoir, et dans le noir vous jubilerez : comme nous l’avons fait, parce que ça c’est du théâtre alors qu’au départ on était plutôt dans le genre « Boulevard du Crime » comme me le souffle malicieusement mon voisin. »
Marie Ordinis (20/04/2016)
Plumechocolat
« Adapter Balzac au théâtre est déjà en soi un sacré challenge. Adapter un de ses romans les plus célèbres en 1h10 avec seulement 3 comédiens dépasse le niveau habituel des défis théâtraux. C’est pourtant celui qu’on choisi de relever Didier Lesour (à l’écrture et sur scène) et Frédérique Lazarini (à la mise en scène) qui dirigent la Compagnie Minuit Zéro Une. Et l’on peut dire qu’ils ont gagné ce pari totalement fou… »
(Avril 2016)
Froggy’s Delight
« … Frédérique Lazarini, dans une scénographie très originale qui évoque les baraques, les tréteaux du « Boulevard du crime », utilisant portes et fenêtres comme des niches d’action, signe là une mise en scène brillante, réussie, qui revient aux sources du Théâtre antique, de la Comédie italienne et du « bel ouvrage de saltimbanque »…»
Christian-Luc Morel (avril 2016)
Mag l’Essonne
« A huit ans, Frédérique Lazarini débute sur les planches aux côtés de Fanny Ardant. Après avoir enchainé les rôles à la télévision, au cinéma et sur scène, elle prend les commandes il y a dix ans du théâtre « La Mare au Diable », créé par son père Henri en 1986. « C’est une sale conviviale qui renoue avec la tradition du café-théâtre, d’écrit la comédienne et metteure en scène, un théâtre de proximité à l’encontre d’une certaine solennité ». Ici, concerts, spectacles de danse et ateliers de formation théâtrale ponctuent la saison. Les week-ends, les spectateurs dînent avant d’assister à une représentation d’œuvres classiques ou contemporaines interprétée par une « troupe intergénérationnelle composée d’amateurs passionnés et d’acteurs professionnels ». Debut 2015, ce collectif jouera par exemple des textes de l’écrivain Jules Renard. »
(janv 2015)
20 Minutes
« …Une œuvre drue et crue, remarquablement mise en scène au XX° Théâtre (Paris 20°) par Henri et Frédérique Lazarini. Le père et sa fille ont taillé dans ce « chef d’œuvre absolu qu’ils portent depuis cinquante ans »…»
G.G. (26/01/2009)
Corse-Matin
« … Poignante mise en scène de « Lella, Danielle Casanova, une vie » samedi soir sur la scène municipale. Frédérique Lazarini, la directrice artistique de la compagnie La Mare au Diable, s’était attelée à une très délicate adaptation des textes de Christiane Schapira… »
CH. L. (5/12/2005)
Zurban
« Frédérique Lazarini a demandé à une douzaine d’auteurs d’écrire une saynète sur le thème de la cabine d’essayage, vision kaléidoscopique d’un lieu microscopique où se jouent les fantasmes les plus divers… »
C.D. (22/06/2004)
Mag de Palaiseau
« C’est à 8 ans que Frédérique Lazarini montait pour la première fois sur scène. Depuis, elle n’a plus quitté les planches. En septembre dernier, la Palaisienne, âgée de 35 ans, s’est vu confier la direction du Théâtre de la Mare au Diable. Celui-ci a récemment été agrandi, le hall est doté d’un nouvel espace bar et sa salle a été redécorée. « Je veux qu’il soit la maison du théâtre pour le plus grand nombre. Une maison chaleureuse. Je vais organiser des rencontres, des expositions autour de thématiques annuelles… »
(nov 2000)